DRUMMONDVILLE, 14 novembre 2016 — La préférence envers certains aliments est en partie génétiquement programmée, par exemple l’aversion pour l’amertume, nos comportements alimentaires sont principalement dictés par des mécanismes d’apprentissage liés à l’obtention d’une récompense. La dépendance au sucre est un cas bien particulier de dépendance alimentaire dans lequel le sucre vient jouer, au même titre que les opioïdes, les stimulants, l’alcool ou la nicotine, un effet modulateur sur la sécrétion de molécules du plaisir et de la récompense. Pour en savoir plus, je vous invite à lire mon nouvel article dans l’édition de novembre-décembre du magazine Vitalité Québec. |